Élu membre du Conseil de l’ONU le 13 octobre dernier, le Gabon a réalisé un coup de force qui n’a pourtant surpris personne puisque le pays cochait énormément de cases, comme l’a indiqué le Porte-Parole de la Présidence de la République lors de son point de presse ce vendredi.
C’est à l’occasion de son point-presse ce vendredi 23 octobre, que le porte-parole de la Présidence de la République Jessye Ella Ekogha est revenu sur les raisons fondamentales qui ont permis au Gabon d’être élu comme membre du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU.
En effet, le Gabon possédait l’un des dossiers de candidatures les plus solides du continent, pour trois raisons essentielles : « la forte implication à l’international du Président, l’activisme de notre diplomatie et les avancées importantes en matière de droit de l’Homme ».
En effet, la forte implication à l’international du Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba n’est plus à démontrer. « S.E. Monsieur Ali Bongo Ondimba est particulièrement impliqué, engagé en matière diplomatique, tant sur la scène régionale que continentale et internationale. Conséquence : la diplomatie gabonaise est, à juste titre, reconnue comme l’une des plus actives en Afrique. », a rappelé le Porte-Parole lors de son allocution.
De plus, s’agissant de la question des Droits de l’homme le Gabon est un modèle et un précurseur dans bien des domaines.
« Notre pays est en pointe sur plusieurs sujets fondamentaux qui relèvent des droits de l’Homme : l’égalité femme-homme, avec notamment un rapport important remis récemment au chef de l’Etat par la Fondation Sylvia Bongo Ondimba pour la famille ; la lutte contre toutes les formes de discrimination ; ou encore tout ce qui est rattaché aux droits de vivre dans un environnement sain, pour nous comme pour les générations à venir. », a-t-il ajouté avant de conclure que « C’est la conjugaison de l’ensemble de ces facteurs (forte implication à l’international du Président, activisme de notre diplomatie, avancées importantes en matière de droit de l’Homme) qui a permis au Gabon d’emporter la décision et d’obtenir son élection au sein du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU. Instance dans laquelle il siègera durant les trois prochaines années. »