Dans le cadre des ses politiques publiques en matière de protection de l’environnement, le Gabon a forcé le respect des pays du monde. Cependant, ce sujet ne pouvait passer sans que l’agence France presse (AFP), qui s’est spécialisée ces dernières années dans la création des contenus négatifs sur le Gabon, ne s’en mêle.
Leur stratégie consiste à salir l’image du Gabon sur la scène internationale. C’est dans le même cadre que s’inscrit le dernier reportage de l’AFP sur le site de la décharge publique de Mindoubé. Cette stratégie est facilitée, voire encouragée par le laxisme des services de l’Etat en charge de l’encadrement des médias étrangers au Gabon.
Choisissant de verser dans une narration sensationnelle au mépris de l’éthique et de la déontologie, l’AFP ne s’est donnée aucun mal pour faire son travail d’enquêteur, et s’est contenté d’étaler leurs tissus de mensonges sans vérifier la véracité des informations obtenues.
C’est le cas de ce reportage qui laisse prétendre que le travail des enfants est permis au Gabon. Le Gabon étant signataire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, comment cela peut-il être possible? Ce n’est qu’un grossier ragoût de mensonge, jeté au feu par nos détracteurs. Selon ce même reportage il paraît que des enfants seraient régulièrement tués dans le cadre de ce travail illégal. Des informations que l’AFP n’a pas pris la peine de vérifier.
L’objectif étant de mettre en lumière un contraste, inexistant, entre « les grandes richesses » du Gabon et la pauvreté de sa population, avec pour preuve le témoignage poignant d’un responsable associatif aux activités anonymes avant le reportage à charge.
Pourtant l’AFP ne fait jamais le même parallèle quand il s’agit des
Des centaines personnes, environ 500, sans domicile fixe (SDF) meurent chaque année en france, 6e puissance mondiale; la prostitution des mineurs est un fléau grandissant dans les grandes villes françaises; mais où est l’AFP, quand il faut mettre en lumière ces aspects? Pourquoi l’AFP ne porte pas ces problèmes? Parce que, si la raison des richesses du Gabon doit être opposée au problème de pauvreté des populations ; il en est de même pour la 6e puissance mondiale face à ses problèmes sociaux. Mais pourquoi l’AFP n’en fait par un reportage? L’AFP serait l’AGP? Avec G mis pour Gabon.