Grâce à son leadership, le Gabon s’est distingué en tant que pionnier dans la préservation de l’environnement. Plus de 80 % de son territoire est couvert de forêts qui stockent d’importantes quantités de carbone, contribuant ainsi à l’atténuation du changement climatique à l’échelle mondiale.
Face aux défis urgents posés par les changements climatiques, les pays du monde entier s’efforcent de mettre en place des mesures pour protéger l’environnement et minimiser les effets néfastes du changement climatique. Le Gabon s’est distingué par ses politiques ambitieuses et ses efforts de conservation, faisant figure de modèle pour l’Afrique et le reste du monde.
Le président de la République a participé activement à de nombreuses réunions de haut niveau sur l’environnement, tant au niveau national qu’international, témoignant de son engagement sans faille dans la lutte contre les changements climatiques.
Le Gabon a accueilli le premier Sommet des Forêts (OFS) les 1er et 2 mars derniers à Libreville, juste après l’accord international sur la biodiversité conclu en décembre 2022 lors de la 15e Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique (COP15 biodiversité) à Montréal. Ces événements ont renforcé la position du Gabon dans la lutte contre les changements climatiques.
Conscient de la valeur des forêts en tant que puits de carbone naturels, le Gabon a pris des mesures pour préserver et gérer durablement ses ressources forestières. Le pays a établi un vaste réseau de parcs nationaux et de réserves pour protéger la biodiversité et lutter contre la déforestation illégale.
En tant que leader sur la scène internationale, le Gabon a ratifié l’Accord de Paris sur le climat en 2016 et s’est engagé à réduire ses émissions de gaz à effet de serre. Le pays participe activement aux négociations climatiques, plaidant en faveur d’une action concertée pour lutter contre le changement climatique à l’échelle mondiale.
Les efforts de conservation du Gabon ont été reconnus par des organisations internationales telles que le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et la Banque mondiale.